-
Tête
Poivre Noir
-
Coeur
Cannelle
-
Fond
Santal
EIGHT & BOB
Les parfums Eight & Bob sont produits par un processus d'élaboration méticuleux utilisant les matières premières les plus exclusives.
Une production limitée de parfums uniques pour hommes et femmes élégants pour un usage quotidien.
Annicke Collection
-
-
-
Tête
Bergamote
-
Coeur
Miel
-
Fond
Vanille
-
-
-
Tête
Nectarine
-
Coeur
Jasmin
-
Fond
Cashmeran
-
-
-
Tête
Figue
-
Coeur
Tubéreuse
-
Fond
Vanille
-
-
-
Tête
Baies Roses
-
Coeur
Gardénia
-
Fond
Cashmeran
-
-
-
Tête
Pivoine
-
Coeur
Muguet
-
Fond
Musc
-
Iconic Collection
-
-
Tête
Orange
-
Coeur
Fleur d'Oranger
-
Fond
Maté
-
-
-
Tête
Pamplemousse
-
Coeur
Café
-
Fond
Tabac
-
-
-
Tête
Petit-Grain
-
Coeur
Fleur d'Oranger
-
Fond
Ambre
-
-
-
Tête
Lavande
-
Coeur
Cardamome
-
Fond
Santal
-
-
-
Tête
Feuille de Violette
-
Coeur
Notes Vertes
-
Fond
Cèdre
-
-
-
Tête
Citron
-
Coeur
Feuille de Violette
-
Fond
Santal
-
Les Extraits
-
-
Tête
Gingembre
-
Coeur
Cannelle
-
Fond
Vanille
-
-
-
Tête
Safran
-
Coeur
Cuir
-
Fond
Musc
-
-
-
Tête
Poire
-
Coeur
Jasmin
-
Fond
Ambroxan
-
-
-
Tête
Poivre Noir
-
Coeur
Café
-
Fond
Santal
-
Tout savoir sur
EIGHT & BOB
Albert Fouquet, parfumeur et fils d’un aristocrate parisien, faisait partie de l’élite de la société française du début du 20ème siècle. Dans une pièce au dernier étage du château de famille, Albert créait et perfectionnait diverses essences avec l’aide de Philippe le majordome. A chaque évènement important où il était convié, Albert aimait surprendre les invités présents avec ses parfums spéciaux qui devenaient toujours plus demandés à l’intérieur du cercle social exclusif parisien, mais il refusait toujours de vendre les formules de ses parfums qu’il gardait cachées.
Une nuit de 1937, lors d’une réception pendant les vacances estivales sur la côte d’Azur, Albert s’était retrouvé à parler avec un jeune étudiant américain qui parcourait la France en cabriolet : ce jeune homme était John Fitzgerald Kennedy. Quelques minutes après avoir été présenté à Albert, JFK fut fasciné par le parfum qu’il portait. Le matin suivant, l’élégance de Kennedy, son intérêt pour les parfums et l’immédiate sympathie pour l’aristocrate français, convainquirent Albert de laisser à l’hôtel où il séjournait un flacon de sa Cologne. Il y ajouta une note « Dans ce flacon se trouve la touche de fantaisie française qu’il manque à ta personnalité américaine ».
Au retour des vacances, Albert reçu au château une lettre de JFK qui était rentré aux États-Unis et dans laquelle il le remerciait pour le geste, l’informait du succès que le parfum recevait parmi ses amis et lui demandait de lui envoyer « huit échantillons, et si la production le permet, un autre pour Bob ». Sans comprendre entièrement le sens de la demande, Albert décida d’envoyer une élégante boîte remplie de parfums tant pour satisfaire la demande de son ami, que pour justifier les coûts de transport. Avec son perfectionnisme maniaque, Albert demanda au majordome Philippe de chercher des flacons en verre particuliers qu’il avait vu dans une pharmacie parisienne. Une fois ces derniers trouvés, Albert et Philippe commencèrent à les étiqueter en les appelant comme l’amusante demande de John « Eight & Bob ».
Aujourd’hui, plusieurs décennies plus tard, grâce à la recherche historique et à la sensibilité de la famille de Philippe, la formule « Eight & Bob » a été complètement récupérée et le protocole de production manuelle et raffinée indiqué par Albert respecté afin que « Eight & Bob » redevienne un des parfums préféré des hommes les plus élégants du monde.